Pour une fois seulement, je laisse tomber le ballon oval...
Le tourbillon des jupes devient stratège malicieux.
Quel moment de fraicheur, elles découvrent la ville une première fois avec la peur au ventre et reviendront victorieuses avec comme trophée, la récolte de plusieurs mois....
"Chaque fois qu'on marque, on a envie de rire aux éclats pendant dix minutes." Juana, défenseuse de l'équipe de football de Churubamba, un petit village andin, s'entraîne tous les jours à 3 850 mètres d'altitude avec deux douzaines d'autres paysannes.
Pour elles, le ballon rond est synonyme de plaisir, de passion et d'évasion, dans un quotidien où alternent tâches ménagères et éducation des enfants, travail aux champs, soin du bétail.
Elles n'ont jamais entendu parler de Beckham ou de Zidane et dans le village personne n'a entendu parler de la Coupe du monde de football en 2006.
Car il n'y a pas d'électricité et la localité la plus proche se trouve à une heure de marche
Article pris sur le net
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